Tenue&Coiffure ; Je venais de ranger les derniers livres ainsi je pouvais paisiblement installer mon matériel et filmer une petite vidéo. J’avais décidé de filmer mon smokey eyes bruns favoris, donc ainsi je me démaquillais pour me remaquiller devant la caméra. Il me fallut une vingtaine de minutes pour tout filmer : un long montage m’attendait pour ce soir. Je range lentement mes affaires comme mes éclairages et mon appareil photo, après avoir quitter et fermer la bibliothèque je range toutes mes affaires dans ma voiture et au dernier moment, je décide de venir te rejoindre au garage. Un sourire régnait sur mes lèvres, tant j’étais excitée de te retrouver. Je me gare sur le parking du garage et descend, balayant mes cheveux châtains en arrière. Je veille à ce que ma voiture soit bien fermée et j’avance jusqu'à la porte que je pousse. Je salue deux employés de Josh qui me connaissait bien désormais et qui s’apprêtaient à partir. Lorsque j’eus terminé de blablater avec ces derniers, je viens te rejoindre dans le garage où la musique dominait. Je pousse un petit cri de surprise et me bat afin de trouver cette foutu télécommande. Telle une douée je ne la trouve pas alors je lance un coup d’oeil dans la pièce et je me dirige vers toi, venant par derrière. Je me colle contre ton dos, mes bras entourent ta taille. Mon chéri. Dis-je en déposant un baiser contre ton épaule. Je profitais de ta présence avant de voir cette télécommande : je me baisse et presse dessus pour éteindre la musique. Revenant à ma place d’origine, je glisse mes mains sous ton haut afin de les poser contre ton torse musclé, lui adressant des caresses toutes aussi douces et légères. Tu m’as manqué aujourd'hui. Dis-je dans un chuchotement tendre. Je ferme les yeux et reste ainsi contre toi, sourire aux lèvres. Bien que j’aurai désiré rester ainsi, lorsque tu me fis face, je viens embrasser avec une certaine fougue et passion tes lèvres, mes mains se déplacent entre tes mains afin de les nouer ensembles. Je romps l'échange et je te souris, nos visages proches. Quand tu auras fini, j’ai une surprise pour toi. Dis-je en accompagnant mes paroles d’un clin d’oeil charmeur.

Tenue&Coiffure ☽ Travailler sans musique lui était impossible. Cela lui permettait de rester éveiller et convenablement présentable en cas de problème : elle le mettait de bonne humeur. Rejoins par ses amis mais aussi employés, il débuta sa journée comme beaucoup d’autre, enrôlé sous l’un des véhicules fraîchement amené par un client régulier. Souvent, ils avaient tendance à demander – si ce n’était pas pour des réparations, des changements divers et variés. Le blond s’en fichait pas mal, tant qu’il bossait. Malgré le fait qu’il ne fasse pas partit de cette classe supérieure, il était propriétaire de son bâtiment, était son propre patron et avait un salaire plus qu’honorable. Il vivait très bien : une vie pénarde et sans problèmes ; du moins, sur ce point.

Son dos contre sa planche, le voilà donc sous le véhicule comme si de rien n’était. L’appellation de l’un de ses coéquipiers le fit sortir de là, se relevant en grognant. Le rejoignant, signant quelques papiers, il le remercia d’un geste de la tête, finissant de lire quelques paperasses pendant qu’il y était : ce qui était fait, n’était plus à faire, n’est-ce pas. Ce sont deux mains qui le sortirent de sa petite lecture quotidienne – mains qu’il connaissaient par cœur. Mon chéri. Son baiser sur son épaule le fit sourire alors qu’il avait tourné sa tête en sa direction afin de pouvoir la voir, elle. La musique se stoppa, et elle reprit. Tu m’as manqué aujourd'hui. Appréciant le contact de ses doigts sur sa peau, Joshua vint alors se tourner afin de lui faire enfin face. Répondant à son baiser – le premier de la journée, il ne la touchait cependant pas avant qu’elle ne lui prenne ses mains. J’ai les mains sales chérie, j’peux pas t’toucher. A son plus grand regret, pensa-t-il. Lui volant un baiser, volage, il se décala du corps de sa petite amie en abordant un petit rictus sous sa phrase. Quand tu auras fini, j’ai une surprise pour toi. Un chiffon entre les mains, il la regardait, naturellement. Ne me tente pas à dire que j’avais le poids de finir. La taquinant bien entendu, il retourna à son véhicule en fignolant avec minutie les dernières touches. Tu as passé une bonne journée ? Toujours en dessous, il avait haussé le ton, afin que sa voix porte jusqu’à sa compagne.

Tenue&Coiffure ; J’adorais ces moments où on se retrouvait, en amoureux. Et te voir, me faisait penser à cette liaison, considérée comme interdite à l’époque. Quand nous étions seulement amis, et que je fréquentais ta bande, j’étais dotée d’une double personnalité ; élève modèle chez moi et fille plutôt dévergondée en dehors. J’ai aimé le risque que je prenais avec vous, et surtout avec toi. Quand mes parents m’ont dégagé de chez moi, nous n’étions pas ensembles, mais c’était toi qu’ils avaient le plus détestés. Si seulement, ils savaient combien j’étais heureuse et épanouie avec toi. Je préfère ma vie actuelle, plutôt que celle fixée par mes parents. Je ne voulais pas me fiancer avec un petit merdeux prétentieux et pourri-gâté, non c’était toi, l’homme de ma vie. J’avais beau être effrayé par notre différence d’âge, aujourd’hui cela m’importe peu. Cette idylle me donnait toujours des papillons dans le ventre, j’avais toujours mes yeux qui pétillaient et j’étais, comme au paradis, dans tes bras. Et c’est ce que je ressentais, lorsque je viens entourer ta taille de mes bras afin de te câliner. Tes bras étaient mon lieu favori et qu’est-ce que j’aimais dormir entre. Alors que je mêlais nos mains ensembles, ta remarque me fit penser qu’exactement tes mains étaient sales, et je constatais les petites traces noires sur ces dernières. J’esquisse une moue, et je t’écoute parler, un rire chaleureux sortit de mes lèvres. Je ne te tente absolument pas ! Dis-je en prenant un de ces fameux airs innocent, qui m’allait assez bien. Je te regarde retourner à ta voiture et j’en profite pour nettoyer mes mains dans le petit coin d’eau du garage. Je reviens te voir quelques minutes après ta question, ah qu’est-ce que j’aimais te voir bosser, ça te rendait un peu plus sexy mais actuellement, je te voulais que pour moi. Je m’assois sur une chaise et je croise mes jambes, un sourire malicieux aux lèvres, je parle un peu plus fort afin que tu m’entendes correctement. Non puisque mon copain préfère son boulot à sa copine ! Lançais-je, sur un ton assez sec mais je te taquinais, comme à mon habitude. Je voulais capter et avoir toute ton attention, comme à chaque fois. Et qu’il refuse de me parler face à face. J’étouffe un petit rire et je continue. Dans ce cas, je ne ferai pas péter la dentelle rouge que j’ai sous mes vêtements. Chose qui était vraie, et que désormais, je n’avais qu’une envie, c’est de t’avoir que pour moi. Et je n’avais pas envie de te voir encore bosser sous cette foutue voiture. M’attendant à ce que tu sortes à tout moment de sous ta voiture, je croise mes bras contre ma poitrine et aborde un air boudeur.

Tenue&Coiffure ☽  Je ne te tente absolument pas ! Secouant un peu son visage, le bas de son crâne posé sur le rebord de la planche, il avait presque terminé les retouches qu'on lui avait imposées, ou si gentiment demandées. Ce client était régulier. C'était une connaissance. Mais Joshua n'était pas du genre à faire du copinage avec les gens qu'il servait. S'intéressant donc, à la vie de sa compagne sans forcément y trouver une curiosité malsaine, il se stoppa sous la réponse de cette dernière. Non puisque mon copain préfère son boulot à sa copine ! [...]  Et qu’il refuse de me parler face à face. Levant les yeux au ciel, sans forcément répondre, le blondinet se laissa glisser sous une légère impulsion de ses jambes. Dans ce cas, je ne ferai pas péter la dentelle rouge que j’ai sous mes vêtements. Elle le prenait par les sentiments. Ou du moins, par ses plaisirs d'homme.   Nande... Chuchota-t-il pour lui-même. Elle pouvait l'entendre, mais il s'en fichait : c'était plus pour lui qu'autre chose. Rester dans le dialecte de sa langue maternelle était une sorte de réflexe, il n'y pensait pas spécialement lorsqu'il s'exprimait. Boude pas. Dit-il tout en se relevant. Tu sais bien que c'est inutile. Non, ce n'était pas un homme sans coeur mais... Elle le taquinait, il le faisait toujours en retour. Une sorte de jeu, mêlé à de la normalité ; une simplicité et une décontraction hors du commun. Un couple, qui visiblement donc, n'avait aucun problème en ce qui concertait tous points de leur vie commune. Plus sérieusement, pas trop chiant le boulot ? Joshua n'avait jamais comprit comment sa petite femme faisait pour travailler dans son domaine. Des livres, des livres. Et encore, des livres. Il se serait tué au bout de deux jours d'apprentissages ! Ce n'était franchement pas son délire ; bien que cela ne l'empêché pas de s'y intéresser si besoins... Mais vraiment, si besoin est. Tournant son visage vers la demoiselle, il eut un léger sourire en la voyant assise de la sorte. Elle était belle, féminine. Elle avait un corps, qu'il qualifierait de parfait bien que ce terme en sois, ne soit pas autorisé. Tu veux faire quelque chose de spécial ce soir?   Ne sait-on jamais. Il préférait demander, au cas où une petite envie lui viendrait : après tout, rien ne coutait de poser cette interrogation. Tout en la fixant - ou l'admirant, tout dépendait du point de vue, il terminait tranquillement.

Tenue&Coiffure ☽ C'était simplement pour savoir si ta journée c'était bien déroulée. Rien de plus, rien de moins. Joshua n'était pas l'homme le plus bavard du monde. Il n'était pas non plus le plus sympathique et agréable... Mais il était ainsi, par nature. Sa réponse négative face à la perceptive de la soirée le laissa sceptique. Il était fatigué par sa journée et cela faisait 16 jours qu'il le faisait non-stop, partant de la maison à 07:30 pour rentrer à 19:00 sous une petite pause d'une demie heure pour manger. A ce stade, c'était peut-être de l'esclavage personnel — étant son propre patron. Soupirant sous cette pensée, le blond tourna son visage vers sa belle. Tu accélères parce que j'ai parlé de dentelle? Un petit sourire, taquin, il prit une cigarette (encore), la coinçant entre ses pulpes afin de l'allumer, tirant une grosse bouffée avant de répondre. Non. Mais ça se pourrait dans cinq minutes. La cherchant bien entendu, il posa son chiffon. J'ai terminé. Si tu veux commencer à rentrer. J'arrive. De part leur travail ; deux véhicules s'imposaient. Ainsi, il passa devant elle en ayant retiré au préalable son bâtonnet de nicotine, l'embrassant tendrement en s'étant penché, appuyé aux accoudoirs de la chaise. Je sais que tu ne travail que la matinée demain. Je peux prendre mon après midi si tu veux. On pourra rester ensemble. Se redressant sans attendre de réponse bien précise, l'aîné ferma la porte de son bureau avant de revenir vers l'être aimé. Soit prudente. Sur la route bien entendu. Son bras autour de ses fines hanches, sa main retombant sur le haut de ses fesses, il déposa un léger baiser sur son front avant de la laisser, partant pour ranger le tout, avant de partir.